Le sommet du G20 a eu lieu pour la première fois en Afrique, se déroulant en Afrique du Sud du 22 au 23 novembre 2025.
Parmi les points à l’ordre du jour, figure l’intervention des dirigeants influents sur la scène économique mondiale qui se sont relayés pour faire entendre leur voix et établir des fondements plus robustes pour l’avenir. En tant que première économie du continent africain, l’Afrique du Sud ambitionne également de renforcer sa position. Cependant, la présidence américaine se révèle absente dans ce contexte concurrentiel, conséquence d’un léger incident persistant. Certaines interprétations avancent que cela est dû au soutien de l’Afrique du Sud à la cause palestinienne, ainsi que ses relations avec l’Iran, qui posent également un défi.
Quels étaient les enjeux réels ?
Parmi les problématiques abordées lors des négociations climatiques en cours, on trouve le financement de l’adaptation au changement climatique, sur lequel les États sont en pourparlers. De plus, la question de la sortie des énergies fossiles demeure un point de contention majeur dans ces discussions. En matière d’action climatique, le Secrétaire général des Nations Unies a exhorté à un accord ambitieux afin de maîtriser le dépassement des limites établies. Il a mis en avant l’importance d’un engagement politique et financier accru pour favoriser la conservation. Il est essentiel de se concentrer sur la mise en œuvre des mesures nécessaires pour protéger les espèces. De plus, un soutien efficace doit être apporté à la lutte contre les activités criminelles liées aux espèces sauvages, notamment en Afrique de l’Ouest et en Afrique centrale. Enfin, il est impératif de préparer des rapports et des mises à jour sur les espèces comme les vautours et les tortues.
Malgré les mécontentements, plusieurs décisions ont été prises.
Le sommet du G20 a abouti à une décision majeure : l’Union africaine a été intégrée en tant que membre permanent du G20. Cette évolution représente un tournant déterminant pour la représentation de l’Afrique sur la scène mondiale. Les dirigeants ont également exprimé leur souhait d’instaurer une paix « juste, complète et durable » dans des zones de conflit telles que l’Ukraine, le Soudan, la République démocratique du Congo et les territoires palestiniens occupés. La déclaration adoptée lors de ce sommet à Johannesburg a été mise en place rapidement, témoignant d’un nouveau dynamisme et d’une volonté de coopération malgré les tensions existantes, selon Courrier international.
Axes stratégiques de la présidence sud-africaine : l’Afrique du Sud a opté pour les thématiques « Solidarité, Égalité et Durabilité » pour 2025, visant ainsi à soutenir une croissance dynamique et inclusive dans un contexte de crise.